Anouschka, la photo

Anouchka dévoile aussi la phrase qu’Alain Delon aimait, celle qu’il souhaitait comme épitaphe : « ‘J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.’ Ces mots d’Alfred de Musset résonnaient profondément en lui. Ce jour tant espéré par son cœur est finalement arrivé : celui de sa première nuit de tranquillité. » Dans ce texte, Anouchka exprime avec une grande sincérité sa peine et sa tendresse pour son père disparu, Alain Delon.

Elle évoque avec émotion l’homme derrière l’acteur mythique, partageant des souvenirs personnels et révélant la complexité de son père : « On a raconté tellement d’histoires sur toi. Les gens ont parlé du jeune loup, du guépard, de Delon… mais aujourd’hui, papa, c’est de ton histoire à toi que j’ai envie de parler. » Elle poursuit, touchée, en avouant combien il lui est difficile de trouver les mots pour décrire la grandeur et l’influence de son père, malgré son image publique légendaire. « Toi, l’homme de peu de mots, c’est moi qui manque de mots aujourd’hui pour te rendre hommage. Pour une dernière fois, je vais essayer de faire simple, essayer de faire juste. »

Anouchka décrit ensuite son père, non seulement comme le personnage imposant que le public a toujours admiré, mais comme l’homme insoumis et authentique qu’il était en privé : « Éternel rebelle, tu as toujours fait ce que tu voulais, avec cette volonté farouche de prouver à tous ceux qui te jugeaient qu’ils se trompaient. Comme j’aimerais tant que tu te relèves encore une fois pour nous prouver ton invincibilité. » Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>