Michèle, visiblement submergée par l’émotion, tente de répondre, mais ses mots trahissent l’ampleur de la douleur qu’elle ressent encore aujourd’hui : « Je ne sais pas, vraiment, je ne sais pas… ». Ses yeux s’embuent de larmes alors qu’elle laisse entrevoir une douleur profonde et des questions sans réponses. « Pourquoi a-t-elle voulu s’en aller ? » se demande-t-elle à voix haute, incapable de trouver une explication à ce geste qui la poursuit.
Malgré le temps qui passe, Michèle Bernier est consciente que le vide laissé par sa mère ne sera jamais comblé. Elle l’exprime avec une simplicité désarmante : « Je pense que son absence me pèsera toute ma vie, c’est un fait auquel je me suis résignée ». Lors de cet échange poignant, Isabelle Ithurburu interroge également Michèle sur les regrets qu’elle pourrait avoir, sur ces instants manqués, ces moments qu’elle aurait aimé partager avec sa mère.
Sans une seconde d’hésitation, Michèle répond simplement : « Tout ». Ce mot unique résume à lui seul l’immensité de la perte qu’elle ressent. Cependant, malgré cette souffrance omniprésente, elle trouve tout de même une forme de réconfort dans un souvenir précieux. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
