Cette volonté de Muriel de mettre de l’eau dans son vin marque un premier pas vers un apaisement dans leur relation. Lors d’une sortie pour faire les courses, elle décide de se montrer plus flexible, un changement que Pascal remarque avec soulagement. « Les courses se passent bien, elle ne commande pas trop, ça va. Ça se passe pas trop mal », observe-t-il avec un certain optimisme. Cet adoucissement de l’atmosphère permet à Pascal de relâcher la tension et d’adopter une attitude plus légère. Pour briser la glace, il propose même un moment plus intime en invitant Muriel à s’intéresser à la lingerie fine exposée dans le magasin. L’échange prend une tournure humoristique lorsqu’il ajoute qu’ils pourraient aussi acheter des bonbons pour une « petite soirée télé, une petite soirée câlins ».

Muriel, un peu surprise par l’audace de Pascal, lui répond avec une légère retenue, estimant qu’il va un peu « vite en besogne ». Cependant, Pascal y voit une opportunité de rapprochement et interprète sa réponse comme un signe positif. « On a blagué un petit peu, elle prend bien la blague, et on verra la suite », confie-t-il en souriant. Il reconnaît également les maladresses des premiers jours, mais se montre confiant sur l’évolution de leur relation : « La première journée, il y a eu un peu de maladresse, elle était directe un petit peu, mais ce n’est pas trop méchant. Je pense que ça va le faire. »
La relation entre Pascal et Muriel illustre les hauts et les bas typiques des rencontres orchestrées dans L’amour est dans le pré. Si les débuts sont marqués par des tensions et des ajustements nécessaires, les efforts mutuels pour se comprendre et s’adapter montrent que tout n’est pas perdu. Muriel, malgré son franc-parler, semble vouloir s’investir davantage dans cette expérience, tandis que Pascal, avec son naturel chaleureux et taquin, tente de désamorcer les conflits et d’établir une complicité. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>




