L’homme destinataire du message nommé Patrick a répondu en lui disant: «Appelle une ambulance et ne perds pas de temps, xx». Louise Porton a même essayé de vendre les vêtements de ses filles des mois après leur assassinat. Elle a écrit sur Facebook que les sacs poubelles contenaient des vêtements pour filles âgées de 0 à 3 mois, de 3 à 6 mois, de 6 à 9 mois et de 9 à 12 mois. Louise Porton a aussi écrit: «Mes petits anges m’ont été enlevés trop tôt. On ne vous oubliera jamais. RIP.»



