Comme le détaille Le Courrier picard, aux démentis des deux suspects, qui assurent que leur « objectif n’était pas de [s’]enrichir », la procureure dénonce un « système hyper-rentable ». « Les réclamations visaient toujours les produits les plus chers, les cartouches d’imprimante ou le champagne, pas la mozza écrasée au fond du sac », observe-t-elle.
Reconnus coupables d’escroquerie, l’homme et sa soeur ont été condamnés à une « sanction-réparation ». Rendez-vous à la page suivante >>