Cette dernière précise dès le début : « Non, ça ne me demande pas de courage, ça me demande de tenir. De pas craquer, de pas se résigner. » Et de continuer : « C’est une maladie qui pioche un peu à gauche, à droite dans les affections du cerveau, mais on plonge petit à petit dans quelque chose de très douloureux et puis on remonte et pouf, on redescend à nouveau et ça, c’est difficile à vivre ».
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