« Le décret publié ce week-end précise bien qu’il s’agit des services, au pluriel, de coiffure, donc l’activité peut se poursuivre en salon comme à domicile dans toutes les régions confinées », confirme cette représentante de l’Union nationale des entreprises de coiffure (UNEC), syndicat qui s’est battu pour obtenir une équité de traitement.
« En novembre, nous nous étions déjà bagarrés pour que les coiffeurs restent ouverts car on s’est bien rendu compte lors du premier confinement que pour beaucoup de gens, cette activité est essentielle. Certains préfets voulaient autoriser uniquement la coiffure à domicile mais nous étions contre par souci d’équité dans la profession ».