De son côté, François continue de nier fermement toute implication dans la mort de Martial. Face aux enquêteurs, il maintient que ce jour-là, il s’est rendu chez son ami à l’improviste. Personne n’a répondu lorsqu’il a frappé à la porte, alors il est reparti. Il répète, avec conviction, que Martial était bien plus qu’une simple connaissance : c’était un véritable ami. Le découvrir inanimé, gisant sans vie au milieu de la route, l’a profondément bouleversé.
Sa voix tremble lorsqu’il dit : « J’ai eu beaucoup de chance de t’avoir à mes côtés. » Karim, les larmes aux yeux, répond avec une tendresse contenue : « Je suis fier d’avoir un fils comme toi. Je t’aime, Rayane. » Le jeune homme, ému, lui répond du fond du cœur : « Moi aussi, papa. » Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>