Ce sabotage ne laisse aucun doute : il a été préparé avec soin, dans le but de nuire, mais pas nécessairement de tuer. Les enquêteurs relèvent l’absence totale de traces d’effraction et d’empreintes, ce qui démontre un haut niveau de préparation. L’agresseur connaissait manifestement les lieux et les habitudes des occupants, ce qui rend son acte d’autant plus inquiétant.
Face à son insistance, Soizic tente de lui faire comprendre qu’il doit apprendre à accepter les refus. Mais Martial, fidèle à lui-même, lui rétorque avec un sourire : « Oui, mais pas aujourd’hui. » À la paillote, le ton devient plus intime. Martial laisse échapper une confidence qu’il gardait depuis longtemps : il avoue être amoureux d’elle depuis bien avant leur récente proximité. Soizic, troublée, ne sait pas quoi répondre. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>