Il ne semble même pas inquiet quant à son héritage, n’étant pas du genre à garder des traces de ses créations : « Quant à la postérité, il n’y a pas d’archives, je ne garde rien de mes brouillons. Tout a été publié de mon vivant et je suis étonné que ça ait duré aussi longtemps.
Car, au départ, il faut bien le dire : personne n’y croyait. » Eddy Mitchell, un homme prévoyant… Rendez-vous à la page suivante >>