Elle n’a pas fait semblant de rechercher son compagnon disparu, ne s’est pas débarrassée de l’arme. Et elle n’a pas cessé de maigrir et de s’isoler après la disparition, tremblant comme une feuille à chaque évocation de Laurent Baca.
Ses avocats veulent démontrer que l’on fait mieux comme tacticienne. Ils préfèrent la version de la femme aux abois piégée dans un véritable « calvaire conjugal ». Et pour cela, ils s’intéressent en creux à la victime, un homme jovial le plus souvent, mais qui avait l’alcool mauvais. Edith Scaravetti prétend qu’il la maltraitait.
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