Cela fait désormais huit mois que la famille du petit Émile a reçu la terrible confirmation : l’enfant, disparu en juillet 2023, est décédé. En mars 2024, dans un sentier isolé du Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, une randonneuse fait une découverte macabre : des ossements humains. Très vite, les experts confirment qu’il s’agit bien des restes du garçonnet. Cette découverte relance alors une enquête qui patinait depuis des mois, redonnant un nouvel élan aux forces de l’ordre mobilisées.
Lorsque les ossements d’Émile sont retrouvés, accompagnés de certains de ses vêtements, les enquêteurs voient dans cette découverte un espoir pour enfin résoudre le mystère de sa disparition. Pourtant, huit mois après cette avancée, l’affaire reste entourée de nombreuses zones d’ombre. Sur le plateau de RTL, le directeur général de la Gendarmerie nationale revient sur l’état actuel des investigations.
Bien que les progrès soient lents, l’officier rappelle l’engagement des équipes mobilisées : « Notre mission, c’est de faire émerger la vérité pour permettre aux familles de faire leur deuil. » Pour ce faire, une vingtaine de gendarmes restent mobilisés en permanence sur cette affaire. Il insiste également sur l’approche minutieuse adoptée : « Nous n’écartons aucune hypothèse dans ce dossier. » Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
