Bien que cette découverte ne permette pas encore de désigner un suspect, elle relance les investigations et suscite un espoir prudent dans la résolution de l’enquête. Cette nouvelle donnée pourrait éclairer les circonstances entourant la disparition de l’enfant et potentiellement révéler l’identité d’une personne inconnue impliquée de près ou de loin dans l’affaire.
Pour le moment, le parquet d’Aix-en-Provence, en charge de l’enquête, reste extrêmement prudent quant à cette révélation. Aucune déclaration officielle n’a été faite, et les autorités se refusent à tout commentaire sur cet ADN étranger. Toutefois, selon des sources proches du dossier, il est confirmé que cet ADN n’appartient pas à un membre de la famille du petit Emile.
Cette découverte amène donc les enquêteurs à comparer ce profil génétique à ceux déjà répertoriés dans le Fichier national des empreintes génétiques (FNAEG), un travail complexe et minutieux qui pourrait prendre du temps. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
