Emile, son maillot

« Si un ADN est retrouvé en grande quantité, cela peut indiquer une interaction directe et prolongée de la personne avec la victime », explique-t-il. « Mais s’il ne s’agit que de quelques cellules, il peut simplement s’agir d’un transfert accidentel. » Cela signifie que la simple présence d’un ADN sur un vêtement ne prouve pas nécessairement une implication criminelle.

L’ADN est extrêmement volatil, ce qui rend l’analyse encore plus difficile. Un simple contact peut suffire à laisser une trace, et les enquêteurs doivent prendre en compte cette réalité lors de leurs investigations.

Ainsi, pour chaque trace d’ADN retrouvée, les experts doivent déterminer si elle résulte d’un contact direct ou d’un transfert, ce qui nécessite des examens approfondis. Les comparaisons seront effectuées avec les profils disponibles dans le FNAEG, mais si aucune correspondance n’est trouvée, il sera nécessaire d’élargir les recherches à d’autres personnes, y compris potentiellement aux habitants du hameau du Haut-Vernet. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>