Comme le rapportent nos confrères du Corriere della Sera, Ricardo T. G. s’est défini, après sa deuxième victoire comme « la preuve vivante que les coups de chance existent ». Mais le parquet n’a pas été du même avis. « Ces gains seraient la conséquence d’une fuite d’informations de la part de complices travaillant à Lottomatica, la société qui gère cette loterie d’État », a fait savoir la justice. Plus précisément, le parquet soupçonne que l’heureux gagnant ait reçu « des informations secrètes sur les bureaux de tabac où seraient envoyé les billets gagnants ».



