Mais la situation s’aggrave encore. La gendarmerie découvre du GHB dans la salle commune. Deux salières contaminées sont également retrouvées dans un casier. Un suspect est en ligne de mire. Le climat devient lourd et tendu.
Les forces de l’ordre demandent à Teyssier d’évacuer immédiatement la cour. Malgré tout, il obtient un dernier moment auprès des élèves. Il s’assoit avec eux, visiblement ému, et leur adresse quelques mots empreints d’émotion : « Auguste Armand aurait été fier de vous. Moi, je le suis. Mais pour sauver cette école, vous devez nous faire confiance. »
Rose et Clotilde se tiennent à ses côtés, solidaires. Dans un élan de respect, Léonard se lève le premier. Un à un, les élèves l’imitent. Lionel, le dernier à se relever, croise le regard de Teyssier qui lui tend la main. Un geste fort, symbole d’un lien entre générations.
Enfin, l’institut est vidé. Les portes se referment dans un silence pesant. À l’intérieur, seuls Teyssier, Rose et Clotilde demeurent, figés face à l’incertitude. Une page semble bel et bien tournée, laissant en suspens une question brûlante : quand l’institut Auguste Armand pourra-t-il de nouveau ouvrir ses portes ? >> PROCHAIN ÉPISODE DISPO ! Le résumé de l’épisode suivant est déjà disponible ! La suite à la page suivante >>
