Déjà mêlé à une affaire judiciaire à la suite de sa consommation de stupéfiants dans les années 1990, Pierre Palmade avait écrit : « Le procureur se lève dans un grand silence et commence son réquisitoire […] Je prends surtout ses derniers mots comme une claque. ‘Et pour toutes ces raisons, je demande 10 000 francs d’amende et 4 mois de prison avec sursis.’ Pardon ? De la prison avec sursis pour consommation de cocaïne ? J’envisage immédiatement le suicide ». Des mots qui laissent craindre le pire quant à la réaction du comédien face aux prochains mois qui l’attendent.




