« Quand j’ai su qu’un autre de mes collaborateurs était malade dernièrement, je n’ai pas cessé de lui écrire depuis. Toutes les semaines j’envoie un petit mot à ce grand monsieur. Je lui écris tout le temps (…) il ne lâche pas l’affaire », a-t-elle confié, ajoutant qu’il « allait bien et qu’il se trouvait actuellement en Patagonie ».
Et de déplorer non sans émotion : « Je trouve que la pudeur parfois de nos métiers, le fait qu’on ne se soit croisé que dans des endroits où il y a un enjeu, un public où il y a un masque à porter, fait que parfois, on n’ose pas dire, avec toute la simplicité du monde, l’amour qu’on porte à quelqu’un, surtout quand il est en difficulté ».
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