Autre raison de temporiser : le baril de Brent. Après un nouveau pic au-delà de 120 dollars le 23 mars, sa valeur – qui sert de référence en Europe – a amorcé une légère décrue. Il s’échange ce mercredi autour de 113 dollars.
Or, il faut quelques jours pour que cette chute se répercute à la pompe. Les effets de la (légère) baisse se feront davantage sentir la semaine prochaine. Rendez-vous à la page suivante >>