Chaque année, la cellule départementale de recueil des IP « en reçoit 6.000 émanant des écoles, des hôpitaux, de voisins ou de simples citoyens », indique le conseil départemental. Chacune est évaluée et peut faire l’objet d’un classement sans suite, être transmise au procureur ou déclencher un suivi social. Ce qui fut le cas pour cette famille qui était « déjà suivie par des travailleurs sociaux notamment pour des problèmes financiers », précise le département. La maman justifie alors les absences de ses filles par « le besoin d’aller se ressourcer auprès de sa famille ».
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