Près d’une année s’est écoulée depuis que le crâne d’Émile a été découvert, non loin de l’endroit où il avait été aperçu vivant pour la dernière fois, le 8 juillet 2023. Alors que l’enquête semblait stagner, les investigations prennent aujourd’hui une nouvelle tournure. La détermination des enquêteurs reste intacte, et ils continuent d’exploiter chaque piste susceptible d’apporter des éléments de réponse sur les circonstances de cette tragique disparition.

Le jeudi 13 mars 2025, une saisie inhabituelle a eu lieu dans l’église Saint-Martin du Haut-Vernet, située dans les Alpes-de-Haute-Provence. Une imposante jardinière, qui trônait jusqu’alors dans l’édifice religieux, a été prélevée par les enquêteurs, persuadés qu’elle pourrait contenir des indices précieux. Cette nouvelle étape marque un tournant dans les recherches, et la présence de cet objet au cœur de l’affaire intrigue les spécialistes chargés du dossier.
Pour tenter de détecter d’éventuelles traces de sang invisibles à l’œil nu, les enquêteurs ont eu recours à la technique du Bluestar. Ce produit, largement utilisé dans les investigations criminelles, permet de révéler la présence de sang même après un nettoyage approfondi. À la surprise générale, l’application de ce réactif aurait mis en évidence des traces suspectes sur la jardinière. Dès lors, une question cruciale se pose : à qui appartient ce sang, et peut-il être relié à la disparition du petit garçon ? Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>




