Le variant brésilien inquiète les élus français, ce qu’on en sait

Du côté des traitements curatifs en revanche, c’est la douche froide. À une exception près, les anticorps monoclonaux n’auraient pas de prise sur P.1. Le bamlanivimab d’Ely Lily, sur lequel misait le gouvernement, échouerait ainsi à empêcher la maladie de dégénérer dans sa forme grave, et seul le imdevimab de Regeneron garderait une partie de ses propriétés curatives… Mieux vaut donc prévenir que guérir avec ce nouveau variant.