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Cette méthode s’est développée à partir des années 1980 et s’est rapidement modernisée, permettant aux instituts les plus sérieux de proposer dès 20h des chiffres assez proches des chiffres définitifs fournis plusieurs heures plus tard, après décompte des voix, par le ministère de l’Intérieur.

Les sondages « sortie des urnes » génèrent par ailleurs quelques biais, liés à son caractère déclaratif. Cela peut être un vrai problème lorsque les panels sont réduits. De nombreux instituts de sondages se disent depuis plusieurs années très frileux à l’idée d’utiliser cette méthode et lui préfèrent un décompte des bulletins « réels » lors des premiers dépouillements, dans plusieurs centaines de bureaux de vote « tests ». Toutes les infos en cliquant sur SUIVANT en bas de page >>