Si pour l’heure le NeoCov ne représente aucun risque pour l’Homme, il a de quoi être préoccupant. Un certain point du génome (la mutation T510F) permettrait au virus de se lier plus facilement aux cellules humaines.
S’ils promettent de se montrer prudents face à cette potentielle menace, les immunologues appellent toutefois à ne pas céder à la panique : « Pour l’instant, ce virus reste propre à l’animal. Rendez-vous à la page suivante >>