Les circonstances entourant son décès soulèvent de nombreuses interrogations, et beaucoup se demandent désormais si cette mort tragique aurait pu être évitée. Le Professeur Olivier Clément, chef du service de radiologie à l’hôpital Européen Georges-Pompidou et membre éminent de la Société française de radiologie, a tenu à expliquer que, malheureusement, ce type de réaction allergique grave reste imprévisible.

« Ces allergies ne peuvent malheureusement pas être détectées en amont, » a-t-il précisé lors d’un entretien accordé à Ouest-France. En dépit des efforts pour prévenir ces incidents, il n’existe pas de moyens infaillibles pour repérer toutes les allergies graves à l’avance. Toutefois, il a tenu à rassurer en expliquant que, dans le cas de réactions allergiques connues, les patients sont systématiquement envoyés en consultation chez un allergologue pour évaluer la nature et la gravité de leur allergie.
« Les allergies de grade 1, cutanées, sont fréquentes, et nous essayons de déterminer ce qui relève d’une vraie allergie ou d’une pseudo-allergie », a-t-il poursuivi. Malheureusement, dans le cas de Michel Blanc, la réaction fatale s’est produite durant la nuit, ce qui a rendu l’intervention médicale encore plus délicate, bien que la présence d’un médecin urgentiste ait permis d’accompagner le comédien jusqu’à ses derniers instants. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>




