Nikos, une semaine…

On ne m’a enlevé mes fils qu’à 2 ans, et aujourd’hui encore, à n’importe quel moment, s’il m’arrive quoi que ce soit, tout peut s’arrêter. En permanence, je suis en survie. Alors les petits inconvénients de la vie, je ne les vois pas », a-t-il conclu.

Aujourd’hui, Nikos Aliagas entend bien profiter de chaque seconde pour faire ce qu’il le rend heureux !