Paris : quelques jours avant Noël

Selon Emmanuel Boujenan, un habitant du quartier interrogé par l’AFP, «il y avait des gens en panique qui criaient à des policiers: «il est là, il est là, avancez» en désignant un salon de coiffure». «J’ai vu des policiers rentrer dans le salon où j’ai vu deux personnes à terre, blessées aux jambes, j’ai vu le sang», a-t-il ajouté.

Au croisement de la rue d’Enghien et de la rue d’Hauteville, des brancards étaient amenés dans le calme vers la scène de la fusillade et un périmètre de sécurité était mis en place par la police, a constaté une journaliste de l’AFP.