Profitant d’une occasion pour repasser au cabinet médical, Luna propose de partager un café avec Sorigny. Elle espère secrètement que cette pause permettra de nouer un lien plus personnel avec lui. Mais la conversation ne prend pas la tournure qu’elle attendait : Mathieu ne parle que de Babeth, avec enthousiasme et admiration. Très vite, Luna comprend qu’elle n’est pas au centre de ses préoccupations. Ce dernier semble n’avoir d’yeux que pour son amie.
Durieux, quant à lui, semble avoir eu le temps et l’état d’esprit nécessaire pour planifier le meurtre de Colbert. Pourtant, certaines personnes proches de lui peinent à le considérer comme un véritable assassin. On le décrit davantage comme un homme manipulateur, un pervers narcissique plus habile avec les mots qu’avec les actes. La juge qui suit le dossier évoque un autre aspect de sa personnalité : son intérêt marqué pour les jeux vidéo en ligne, particulièrement ceux prisés par les adolescents. Il affirmait que cela l’aidait à se détendre, comme une échappatoire.En poursuivant les recherches, Idriss découvre que Durieux jouait sous le pseudo énigmatique de « Princesse Marave ». Il était passionné par un jeu en particulier : Apo Fighter. Ce détail, en apparence anodin, intrigue fortement les enquêteurs. Boher, lui, trouve ce surnom étonnant venant d’un homme qui manifestait un profond mépris pour les femmes. Le contraste entre le pseudo et la personnalité de Durieux semble trop grand pour ne pas y voir un signe. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>




