De retour au commissariat, Jean-Paul constate que le téléphone d’Anaïs est trop endommagé pour être déverrouillé, rendant impossible l’identification de l’expéditeur du message.

Cependant, une bonne nouvelle surgit. Charlotte, de la PTS, informe Jean-Paul que des empreintes de chaussures ont été retrouvées près du gymnase où Anaïs a été agressée. Ces empreintes correspondent à celles relevées près du coffre-fort d’Abdel Fedala. Le voleur et l’agresseur seraient donc la même personne.
En fin de journée, Samuel, Patrick et Jean-Paul font le point sur l’enquête. Soudain, ils reçoivent une information cruciale : la personne qui a envoyé le message à Anaïs est bien l’un des trois suspects.




