PBLV Esteban

Patrick, bienveillant mais pressé, lui conseille de rentrer chez lui pour se reposer. Samuel ment une nouvelle fois. Il affirme avoir déjà pris un antalgique, alors qu’il lutte en réalité contre un manque violent. Son addiction reprend le dessus, rongeant ses pensées.

Submergé par le besoin, il passe à l’acte. Dans un geste désespéré, il se blesse volontairement au bras à l’aide d’un cutter. C’est sa manière de gérer la douleur intérieure, de créer un exutoire physique à ses tourments invisibles. À l’hôpital, c’est Bahram qui prend en charge ses soins.

Samuel, en proie à une dépendance grandissante, réclame avec insistance des opioïdes. Il rejette l’idée de simples antalgiques comme le paracétamol, qu’il juge inefficaces. Il veut quelque chose de plus fort, de plus radical. Bahram, en tant que médecin, reste sur ses gardes. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>