Pendant le match hier…

« Cher Nikos, je pense tout particulièrement à vous ce soir et j’espère qu’après ce piteux spectacle d’un penalty exceptionnellement (je n’avais jamais vu une blague pareille en direct de ma vie) rejoué alors que votre gardien grec avait réussi un splendide arrêt, s

ans compter un match parfait de l’équipe grecque suivie enfin d’une expulsion complètement injustifiée suite à un simple épaule contre épaule hors de la surface, vous continuerez à aimer le football et à aimer la France ». Une chose est sûre, c’est que peu importe le résultat, Nikos a quitté le Stade le sourire aux lèvres.