L’enquête sur la disparition tragique du petit Émile prend un tournant décisif. Après des semaines d’attente et de minutieuses analyses, les résultats concernant les éléments recueillis, notamment sur le squelette et les effets personnels de l’enfant, viennent de révéler des informations cruciales. Les analyses récentes ont en effet identifié une trace d’ADN étranger sur les vêtements qu’Émile portait le jour de sa disparition. Ce profil génétique ne correspondrait à aucun des membres de la famille, ce qui éveille de nouvelles hypothèses pour les enquêteurs.
D’après les informations obtenues par BFM DICI, c’est le professeur Christian Doutremepuich, expert mandaté par la justice française pour examiner de possibles indices, qui aurait fait cette découverte significative. L’ADN, détecté sous forme d’une trace de contact, aurait été retrouvé précisément sur les habits que le petit Émile portait le 8 juillet 2023, jour de sa disparition dans le hameau du Haut-Vernet, situé dans les Alpes-de-Haute-Provence. Cette trouvaille relance l’enquête en introduisant une nouvelle piste, que les enquêteurs examinent avec prudence.
Pour le moment, le parquet d’Aix-en-Provence reste discret et refuse de commenter publiquement cette avancée. Toutefois, certaines sources proches de l’affaire confient que l’ADN découvert appartient à un profil non répertorié au sein de la famille. Bien que le procureur de la République préfère éviter toute confirmation ou infirmation, invoquant la nécessité de respecter le secret de l’instruction, il apparaît que cet ADN inconnu sera soumis à des comparaisons exhaustives. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
