Philippine, le téléphone

Parmi ceux qui témoignent, un ancien encadrant de Philippine chez les scouts se souvient d’une jeune femme « très active, toujours pleine d’énergie, d’une grande gentillesse et très proactive dans tout ce qu’elle entreprenait ». Selon lui, elle ne manquait jamais une occasion de s’impliquer et de motiver les autres lorsqu’il fallait accomplir une tâche ou mener un projet. Tout cela renforce encore le mystère autour de cette tragédie : comment une personne aussi aimée et sans histoires a-t-elle pu finir ainsi ?

À l’université, l’inquiétude face à l’insécurité dans le bois de Boulogne, un lieu souvent perçu comme dangereux, devient un sujet de conversation omniprésent. Toutefois, pour ceux qui ont bien connu Philippine, une autre question plus pressante émerge : qui aurait pu lui en vouloir au point de lui faire du mal ? Une camarade de classe, interrogée par Le Figaro, partage ses interrogations : « Elle était studieuse, toujours gentille, un peu timide et réservée. Je ne vois pas qui aurait pu vouloir lui nuire ».

Une autre personne, qui ne la connaissait que de vue, confie au Parisien : « Elle semblait être quelqu’un sans problème, toujours gentille. Rien dans son comportement ne laissait présager un tel drame. » Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>