Pierre Palmade, les premiers mots

J’ai entendu ceux qui disent : ‘Il ne pense pas aux victimes’. À ceux-là je leur réponds gentiment : vous n’avez pas le monopole du cœur. Vous n’avez pas le monopole de la compassion. Moi je suis atteint le plus profond par l’horreur de la catastrophe irréparable qui s’abat sur cette famille innocente.

Et je prie pour que ces personnes soient soignées, indemnisées et accompagnées du mieux possible. »

Cette addiction, je l’ai vue de près. Je l’ai vu lutter. Je sais à quel point le système de soins ne sait pas prendre en charge ces addictions. Mon fils, se bat également contre ses addictions, et pour lui c’est l’alcool et je vois à quel point c’est difficile de s’en sortir. Pierre a essayé très fort de se soigner mais même très bien placé pour se faire soigner, ce n’est pas gagné. Je l’ai vu vouloir s’en sortir, et puis il a raté. »