« En Inde, faute d’infrastructures de stockage conformes aux exigences sanitaires européennes, pour désinfecter la récolte et tuer les salmonelles, on fait des fumigations d’oxyde d’éthylène », explique-t-il.
Mais, « à l’autre bout de la chaîne, lorsque le produit arrive chez nous, il tombe dans un système où ce sont ceux qui vont le vendre qui le contrôlent. Et quand on regarde de plus près ces « auto contrôles » industriels, sur 900 molécules aujourd’hui interdites ou réglementées avec des limites, environ 500 passent sous les radars, parce que faute de moyens et de volonté politique, on manque de contrôles officiels tant au niveau français qu’européen », tacle Laurent Duplomb qui poursuit lui aussi son enquête Rendez-vous à la page suivante >>