Maya convie Léonard dans le jardin de l’institut. Elle lui présente alors un objet du passé, leur ancien journal intime qu’ils tenaient ensemble au foyer. Ce carnet, empreint de souvenirs et de confidences, illustre le lien fusionnel qu’ils ont toujours entretenu. Mais aujourd’hui, Maya estime qu’il est essentiel de mettre de la distance entre eux afin qu’ils puissent s’épanouir individuellement. Après une discussion sincère et émotive, ils prennent ensemble la décision de rester amis, tout en s’accordant plus d’espace pour grandir chacun de leur côté.
Pendant ce temps, au restaurant de l’atelier, Ferdinand s’installe pour déjeuner. Entre deux bouchées, il multiplie les questions sur le master et fait part de ses attentes. Son ton critique et ses remarques acérées ne passent pas inaperçus, notamment aux oreilles d’Enzo, qui perçoit rapidement une certaine condescendance. Ferdinand, lui, ne cache pas son désarroi : il s’attendait à un bien meilleur niveau de professionnalisme.
De son côté, Teyssier doit trouver un remplaçant avant son départ. Il se tourne vers Marc, lui proposant d’assurer l’intérim pendant son absence. Il insiste sur ses compétences, louant ses qualités de pédagogue et d’enseignant. Son choix est fait par confiance et conviction. Après une brève réflexion, Marc accepte, mais pose une condition : il veut pouvoir agir en toute liberté, sans contraintes. Teyssier, appréciant son assurance, lui donne carte blanche. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
