Un coup dur pour l’humoriste, qui doit faire vite : les créanciers ne veulent plus attendre et lui ont laissé trois mois pour éponger ses dettes. Au-delà de ce laps de temps, ils pourraient être amenés à demander la saisie de son bien. Un scénario catastrophe pour l’ancien acolyte de Michèle Laroque, qui avait eu un véritable coup de foudre pour cette bâtisse…




