Thomas ne cache pas ses préoccupations concernant la santé de son père. Bien qu’il ait donné des nouvelles plutôt rassurantes quelques jours plus tôt dans une interview au Figaro, il reste anxieux à l’idée de perdre un autre parent si rapidement. « Il m’arrive de penser : ‘Ptain, s’il part lui aussi…’ »*, avoue-t-il, laissant transparaître une inquiétude sincère. Malgré tout, il indique que Jacques Dutronc se porte relativement bien, même s’il doit rester prudent. « Je le vois une à deux fois par semaine. Quand il fait chaud, il ne sort pas trop, c’est mauvais pour son cœur. Sinon, il tient le coup », expliquait-il au Figaro le 11 septembre 2024.
Thomas Dutronc, très proche de sa mère jusqu’à ses derniers instants, ne cache pas sa fatigue face à l’omniprésence de ce sujet dans les interviews. Alors qu’il tente de mettre en avant son nouvel album, les questions des journalistes reviennent fréquemment sur la disparition de Françoise Hardy. « Les interviews que je fais pour parler de mon dernier album dérivent souvent un peu trop sur le sujet de ma chère maman », déplore-t-il dans les colonnes de Gala.
Cette douleur est d’autant plus vive que la mort de sa mère continue de hanter ses nuits. Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche le 22 septembre 2024, Thomas confie souffrir d’insomnies régulières depuis ce tragique événement. Il explique que c’est souvent dans ces moments de solitude nocturne qu’il trouve l’inspiration pour écrire et composer. Ces nuits blanches ont donné naissance aux chansons de son album Il n’est jamais trop tard. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
