Bien que Françoise Hardy ait toujours été une fervente admiratrice de son travail, Thomas regrette profondément qu’elle n’ait pas eu le temps d’écouter cet album. « Ma mère était ma première fan », se souvient-il avec tendresse, avant d’ajouter : « Malheureusement, elle n’a pas eu l’occasion de découvrir mes nouvelles chansons. Elle aimait particulièrement mon côté mélancolique. Pour le reste, elle pouvait être assez critique. »

Dans un contexte marqué par le deuil et la mélancolie, Thomas Dutronc continue de se consacrer à sa musique. Son album Il n’est jamais trop tard semble autant une œuvre artistique qu’un hommage à l’amour et au soutien indéfectible que lui apportait sa mère. Entre préoccupations pour son père et la pression des médias, l’artiste fait preuve d’une résilience admirable, poursuivant son chemin tout en portant avec lui l’héritage de Françoise Hardy.



