USGS, Marc

Au cabinet, Marc tente d’en savoir plus sur l’état d’avancement des démarches douanières. Il interroge Louis au sujet de la marchandise toujours bloquée. Louis, visiblement agacé, lui répond sèchement que « c’est en cours ». Il refuse d’en dire davantage et demande à son père de ne pas se mêler de ses affaires, qu’il qualifie lui-même de « merdes ». La tension est palpable.

Catherine, de son côté, décide d’affronter la situation avec Laurine. Elle tente d’apaiser le conflit et de crever l’abcès une bonne fois pour toutes. Elle explique à sa fille qu’elle n’oubliera jamais François, qu’il restera à jamais l’amour de sa vie. Mais elle affirme aussi que reconstruire sa vie ne signifie pas effacer le passé. Laurine, émue, lui confie combien son père lui manque. L’idée que sa mère puisse le « remplacer » lui est encore insupportable. Catherine insiste : avec Pascal, elle ne cherche pas à tourner la page, mais simplement à continuer à vivre.

Florent, en analysant les pièces du dossier, tombe sur un détail troublant. Il constate que la date inscrite sur les échantillons de la police scientifique est postérieure à la découverte du corps d’Iris. Il s’interroge : les scellés auraient-ils circulé librement pendant 24 heures ? Ce délai pourrait entraîner un vice de procédure, ce qui, pour Johanna, pourrait devenir un point de défense décisif. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>