De son côté, Cécile rend visite à Sylvio Pavan à l’église pour lui demander d’officier les funérailles de Christophe. Sylvio accepte avec bienveillance.

Cécile se confie au prêtre, exprimant sa confusion et son désarroi face à la véritable identité de Christophe. Elle avoue être perdue et ne plus savoir qui était vraiment l’homme qu’elle pensait connaître.
Le soir venu, Cécile remet à Achille la lettre écrite par Christophe. Elle admet qu’elle en veut énormément à Christophe pour ce qu’il a fait, mais elle reconnaît également que, malgré tout, Christophe avait raison sur un point : il aimait profondément son fils.




