« Je me rappelle d’un souvenir en particulier où on me tapait, où on me courait après dans l’école et que je suis aller me cacher dans la cantine. Les femmes de la cantine connaissaient ma mère, moi je ne voulais plus dire, j’en avais marre, par honte ou je ne sais quoi, et ce sont les dames de la cantine qui ont annoncé à ma mère que je me faisais racketter, courir après, taper dessus à l’école », indique-t-il.




