Un petit détail qui, déjà, met Pascal mal à l’aise. Mais ce n’est pas tout. Lorsqu’ils passent à table, Muriel se permet une autre critique : elle regrette que les chaises de la salle à manger ne soient pas équipées de patins, ce qui la gêne visiblement. Ce type de remarque, que Pascal considère comme futile, finit par le faire douter de son choix. En aparté, face aux caméras, il ne cache plus son exaspération.

Il admet que, même si l’absence de patins sur les chaises est un détail mineur, l’accumulation de ce genre de remarques pourrait bien avoir des conséquences sur la suite de leur relation. Agacé, il lance d’un ton ferme : « Si tu n’es pas contente, tu peux toujours rentrer chez toi ! ».
L’agacement de Pascal ne fait que croître à mesure que la journée avance, et les choses ne s’arrangent pas lorsqu’ils se retrouvent à cuisiner ensemble. À table, la discussion tourne rapidement au vinaigre. Les tensions montent autour de la cuisson de la viande, un sujet qui semble anodin, mais qui finit par déclencher un échange tendu entre eux. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>




