Mais du côté du parquet , et bien entendu de la défense, on souligne que l’intensité des souffrances doit être insupportable pour les victimes. Or, si lors du simulacre de noyade, Tricia a cru mourir, cet acte n’est objectivé par aucune preuve médicale et semble avoir été ponctuel.
Le 17 octobre, le tribunal dira donc s’il est compétent pour juger ce pénible dossier ou si ces parents, qui nient les faits, seront jugés aux assises.


