« Cinq lettres qui définissent beaucoup. J’étais son agent sur le papier. Il était mon confident dans le coeur », se souvient ainsi Damien Nougarède, qui décrit le frère Bogdanoff comme « un soleil qui rendait jour à la plus sombre nuit ». « Ces longues nuits d’ailleurs à l’écouter me réciter des poèmes, à m’interpréter des musiques…
Pour réconforter nos âmes bousculées par la vie. Source de motivation… avec lui, nulle ombre ne subsistait dans un paysage toujours rêveur. Il ne se contentait pas de rêver des étoiles, il était lui-même un astre, si puissant, si lumineux, que je me refuse aujourd’hui à être triste », a-t-il ainsi écrit en légende d’un cliché d’eux deux. Rendez-vous à la page suivante >>




