Ce sujet sensible a d’ailleurs retenu l’attention de Christian Brincourt, qui n’a pas manqué de l’aborder lors de leur dernière entrevue pour le numéro spécial de Paris Match. Cependant, cette fois-ci, Brigitte Bardot, proche des 90 ans, a choisi d’éluder la question en refusant de s’épancher davantage sur les aspects douloureux de sa vie familiale.

Elle a ainsi fait preuve de réserve, se gardant bien de reprendre les mots durs qu’elle avait utilisés dans son autobiographie publiée en 1996, Initiales B.B. (Grasset), où elle qualifiait son fils d’« objet de mon malheur ». Des propos qui avaient profondément blessé Jacques Charrier, le père de Nicolas, et Nicolas lui-même, au point qu’ils avaient intenté un procès contre elle. Ce procès, ils l’avaient remporté, accentuant encore les tensions familiales.
En ce qui concerne ses petites-filles, Théa et Anna Charrier, toutes deux désormais dans la trentaine, ainsi que ses trois arrière-petits-enfants, Brigitte Bardot demeure tout aussi discrète. Lorsqu’elle en parle, c’est avec une certaine distance. À son fidèle ami et intervieweur, elle a simplement déclaré : « Oui, je suis arrière-grand-mère de trois petits Norvégiens qui ne parlent pas le français et que je vois rarement. » Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>




