Malgré les symptômes de la maladie, Catherine Laborde « sort », « marche » et puis elle essaie « de vivre, de se marrer ». « Mais elle a une tendance à dire que ça l’ennuie, ça l’emmerde, qu’elle n’a pas envie de sortir parce qu’elle n’a pas envie qu’on la voit.
Ça, elle ne le dit pas, mais je le sais très bien ». Et pour cause. Si « elle se ressemble encore », Thomas Stern souligne « qu’elle n’est plus la même femme ». « Ce n’est pas évident à gérer dehors, dans l’espace publique », poursuit-il.


