En cas de lymphome, les ganglions du cou, de l’aisselle et de l’aine ne sont pas automatiquement impliqués, c’est plus souvent le cas des ganglions profonds, non perceptibles.
« L’augmentation de volume des ganglions, on parle alors d’adénopathies, est liée à la libération locale en quantité importante des médiateurs de l’inflammation créée par un conflit entre les soldats de l’organisme polynucléaires, macrophages, lymphocytes et soit des germes, bactéries ou virus, soit des cellules cancéreuses », commente le médecin généraliste.