Deux après le décès de son fils, il frappe à la porte « Maman, c’est moi »

D’autres recherches ont permis de découvrir les enfants dont l’orphelinat avait la charge à l’époque. Parmi eux, l’un d’entre eux a attiré l’attention de Jane. Elle et son mari se sont donc rendus sur place pour le rencontrer le lendemain matin. « Il s’appelle Simon », leur a dit le fondateur. « Il a perdu ses parents dans un accident de voiture et est atteint d’autisme, ce qui le rend très difficile à vivre ; en fait, il ne parle pratiquement à personne d’autre qu’à son « ami imaginaire » et il est bien décidé à choisir lui-même sa famille adoptive. »