François parvient finalement à obtenir un parloir pour voir Soizic. Lorsqu’il entre dans la salle, elle lève les yeux, surprise. Elle ne s’attendait pas à le voir. Elle lui confie que la vie en prison est dure, qu’elle s’accroche comme elle peut. François lui rappelle qu’il l’avait pourtant prévenue, qu’il était prêt à porter la responsabilité pour la protéger.
Il lui assure qu’elle ne sera pas abandonnée. Il insiste : il n’est pas là pour la juger, il est venu en tant que père, pas en procureur. Il termine en lui disant, avec émotion, qu’ils restent une famille, malgré tout. Face à ces mots, Soizic laisse tomber le masque. Elle avoue qu’elle se sent coupable, qu’elle a détruit leur vie, qu’elle l’a transformée en un fait divers sordide.
François tente de la rassurer. Il lui parle d’Adam, bouleversé, mais désireux de renouer le contact. Soizic, émue, lui prend les mains et le remercie. Elle lui avoue avec sincérité qu’elle l’aime encore, malgré les erreurs, malgré les blessures. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
